presse

Täglicher Anzeiger, Holzminden, le 14 octobre 2008

"...La soliste Esther Walker a trouvé exactement le bon ton pour Mozart : elle marie brillance, sensibilité, force et tendresse."


Göttinger Tageblatt, le 13 octobre 2008

"...une pianiste qui joue Mozart avec un touché subtil, léger et un son clair et transparent. Son interprétation de ce concerto nous émerveille; finesse et lyrisme dans le deuxième mouvement; tempérament, humour et feu au premier et dernier mouvement."


Frankfurter Neue Presse, le 20 septembre 2007

"...Esther Walker maîtrise les grandes exigences techniques de ce concerto de Brahms avec une aisance presque désinvolte; très impressionants ses trilles d'octaves. On sent une harmonie parfaite entre  le chef d'orchestre, l'orchestre et la soliste. Au deuxième mouvement l'orchestre et le chef réagissent parfaitement au jeu très interiorisé de la pianiste; phénoménal ici la clarté du jeu polyphonique de la soliste. Tout le suspens ainsi créé se résout finalement dans un dernier mouvement splendide où l'orchestre et la soliste jouent avec abandon."


Rhein-Lahn-Zeitung, le 20 septembre 2007

"...la soliste Esther Walker se présente comme une interprète extraordinaire de la musique de Brahms. Après la longue introduction d'orchestre elle prend possession de son clavier, embrasse toute la musique et les mélodies avec son jeu à la fois intime et dramatique."


Al - Ahram weekly, le 20 avril 2006

"...Elle était à la fois puissante et héroique, gaie et spirituelle, tendre et méditative et son dialogue avec l'orchestre était extraordinaire.“ (Beethoven concerto no 4)


Zürichseezeitung

"...Rarement on a entendu ce troisième scherzo de Chopin de manière aussi intense, pleine de force, subtile et tendre en même temps. C'était une ouverture grandiose à ce concert impressionnant. (...) Pour clore cette soirée Esther Walker, complètement dévouée à la musique, nous séduit avec la deuxième légende émouvante de Liszt."


Neue Zuger Zeitung

"...la pianiste arrive à transformer son piano en un orchestre : en sortent des images et des symboles enflammés, extatiques mystiques...Elle nous montre Skrjabin tel qu'il était : surhumain - presque divin - toujours visant l'éternel..."


Der Landbote

"Dans l'interprétation d'Esther Walker cette piéce pour piano et orchestre qui date de 1822 parait moderne et captivante. On est de nouveau impressionné par sa grande virtuosité..."


24 Heures, le 31 août 2004

"Zurichoise formée à Lausanne chez Brigitte Meyer, Esther Walker est une pianiste atypique par son parcours et par son exigence. Elle a commencé d'ailleurs par apprendre le violon et l'alto, au point de jouer dans des orchestres de jeunes. Mais le piano s'est finalement imposé, très tard pour une professionnelle: « A l'âge où tout le monde court les concours, je faisais de la musique de chambre », raconte-t-elle aujourd'hui.


Sa carrière a sans doute mis du temps à démarrer en dehors des circuits habituels et au mépris de tout mercantilisme: « Me différencier par des facteurs extramusicaux. Je ne m'en préoccupe pas.» Désormais, les engagements pour des récitals ou des concertos se multiplient; elle a joué à Salzbourg, elle ira au Caire pour un concerto de Mozart, et elle a participé, cet été, à un concert Hindemith avec Abbado, à Lucerne.


Farouche indépendante, elle n'a jamais joué dans une formation fixe - « le mariage en musique ne me convient pas» - mais elle multiplie les rencontres et les découvertes. Le risque de l'instabilité ne lui fait pas peur. Au contraire, elle en redemande. Et on ne sera guère surpris que Gilles Cachemaille l'ait choisie pour accompagner son récital, lui qui fuit la routine comme la peste."

© Esther Walker 2013